RCA: l’appui de l’Etat et des partenaires sociaux pour soulager la jeunesse

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Le président Touadera et la présidente du conseil national de la jeunesse Pamela Audré Dérom

Par Thomas KOSSI

Bangui 6 octobre 2021—(Ndjoni  Sango) : C’est un grand cri d’alarme que la population lance à l’attention des hauts dignitaires de la République centrafricaine. Tant,  combien nombreux sont les jeunes qui, au jour le jour, demandent à être insérer dans le processus de développement. Mais comment peut-on être intégré pour contribuer efficacement à la charge nationale ?

Les compatriotes ont la superbe idée de faire avancer le pays. Mais comme le disait un homme politique de renom, « l’argent est le nerf de la guerre ». C’est alors que bien de femmes et d’hommes de souche qui ont la volonté de réaliser une infrastructure de rémunération, restent la main nue et ballante.

Le grand et utile appui nécessaire fait grandement défaut : avec quoi peuvent-ils créer l’entreprise devant faire avancer l’Etat au sortir de ces drames ? Car la main-d’œuvre est pendante.

Sur les 623.000 Km², que ce soit dans la capitale, soit les provinces, plusieurs jeunes filles et jeunes fils, attendent se mettre à l’œuvre devant grandir la RCA. La bonne heure de retrousser la manche a sonné et sonne encore pour que  chacun tienne fermement travailler comme il faut et le devra. L’indépendance ne veut-elle pas dire que les ressortissants de Centrafrique ont la pleine responsabilité de produire, d’engranger et de faire avancer le pays dans un port ultra rémunérateur ?

Plus personne ne doute de cette éventualité. Avec la paix que nous recherchons avec vigueur et sagesse, que la providence se mêle de tout et que la RCA aille vers le plein épanouissement comme les autres entités du continent africain, voire de l’univers.

La nation aura retrouvé la quiétude comme d’antan, et le travail pour vivre en harmonie avec tous les groupes ethniques et raciaux, sera réconforté et utilisé pour l’extrême bien-être social. Les sales penchants d’une autre planète seront mis à l’écart, et seul le pays et sa bannière feront la vive joie qui nous fera vivre à grande échelle.

Que cet appel trouve un écho des plus favorables, de sorte que le peuple dans toute sa grandeur, dise : Vive la paix et que la Jeunesse d’après BOGANDA, de 0 à 125ans, roule dans la poussière d’une fierté inimaginable que le monde entier sera étonné d’applaudir ! Les subventions ne sont-elles pas la grande voie de l’éclatement d’une nation ?

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