Par Thomas KOSSI
Bangui 2 décembre 2021—(Ndjoni Sango) : Le souci ardent en République centrafricaine concerne le phénomène militaro-crise. La veille de la fête nationale, le président de la république revient sur des termes alarmants sur le problème. Que veut-il dire en citant des notions terrifiantes qui font trembler?
Que veulent les ressortissants de cette contrée qui ne peuvent avoir de l’eau potable à boire dans la quiétude ? Et pourtant, l’eau qui est la vie, détient cette utilité qui dépasse l’entendement humain.
Mais pourquoi ne peut-on pas être à l’aise pour savourer un tel liquide ? La nature entière l’adore et y donne un goût purement succulent. Mais comment ne peut-on pas l’aimer comme toute chair humaine ?
En tout cas, la vie de nos dirigeants politiques semble être comme un poisson dans l’eau. On le voit y vivre, mais jamais comment il arrive à se nourrir et à passer beaucoup plus d’années.
Tels peuvent être les femmes et hommes qui planifient leur vision comme agents devant les guider à respirer amplement. Parce qu’ils sont absolument fiers que sans la vie de politiciens, comment s’en sortiraient-ils comme population qui aime, adorent vivre ?
Les Centrafricains sont morts et continuent de mourir. Par qui reçoivent-ils cette absence de vie ? Par notre complicité. La nôtre simplement. Et jusqu’à quand cette saleté de vouloir supprimer la vie ?
Seuls, les différentes « agences de pouvoir » qui qualifient eux-mêmes de sacro-réussite. Car une fois-là, ne les voilà-t-il pas faire ce que l’homme ordinaire est appelé à réaliser. La multiplication de la diplomatie qui ouvre la vanne à des rencontres des nouvelles gens non appropriées qui ont le sens de faire avancer leur petit trou d’ordinaire.
Enterrer la crise militaro-politique a l’air de devenir un ballon de jeu. Ceux qui tirent les ficelles de cette crise sont très contents de l’avoir, ils sautent de joie comme les hirondelles qui ne peuvent que passer par-là. N’est-ce pas que c’est cette vision qui met du sel dans les débats de présidentiabilité dont personne n’en fait cas une fois le succès acquis ?