Par Thomas KOSSI
Bangui 11 janvier 2022—(Ndjoni Sango): La situation délicate que traverse le Mali, en Afrique de l’Ouest, appelle le citoyen centrafricain à ne pas dormir sur son laurier. Le groupe Wagner est cité là-bas alors que ce même groupe doit être en train de faire du travail en Centrafrique. Mais à quoi servent les paramilitaires que ceux qui sont extrêmement forts mettent dans les coups ?
Si l’Occident que l’on se plaise à appeler Havre de Paix laisse les autres à l’aise, partout ailleurs, la quiétude sera là, la pacification sera là et n’importe où, tout le monde aura la PAIX VERITABLE.
Cependant, la communauté internationale dont la présence, signature, passage et mot touche tout, abîme et rend également chaque chose saine ; personne ne dira que ce que les Européens fabriquent en Afrique sont des mesures caritatives, sont des dires aléatoires.
Le fait que ce qui arrive de l’autre côté du grand fleuve a le pire et le bon, tenons-le pour le fait. Tant il ne sert à rien de vouloir sacrer ce que des mauvais hommes affichent au même titre qu’on le voit partout ailleurs.
Car, comme aurait soufflé un professeur africain que nous paraphrasons, « cette politique de mener les uns contre les autres est un dictat que nous rejetons… » Tant, la volonté de calmer les esprits surchauffés, ce n’est point d’exciter à poursuivre la violence, mais au contraire, de contraindre chaque entité à se donner la quiétude absolue qui arrange et range la colère de tuer cyniquement.
Vu que le Centrafrique est cité en exemple pour les Wagner au Mali, faisons attention qu’un autre pays africain ne tombe plus sous le même coup de violence inouïe. N’est-ce pas de l’Occident que la Bible nous a été apportée pour que l’on enseigne ; « aime ton FRERE comme toi-même ?»