Quand la Côte d’Ivoire fait l’assemblage des minibus

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Par Thomas KOSSI

Bangui 11 janvier 2022–(Ndjoni  Sango): Les nouvelles reçues par les ondes radiophoniques aident le citoyen lambda à se mettre au diapason du monde. La coopération dont la Côte d’Ivoire bénéficie pour assembler les véhicules d’Iveko devant alléger ses circuits commerciaux internes, ranime le cœur des Ivoiriens. Qu’en sera-t-il en ce qui concerne la République centrafricaine?

Les problèmes des voies de communication en RCA restent un problème plus que délicat. La communication interne relève d’une problématique. Tant,  relier une commune à une autre, une ville à une autre est de la mer à boire.

Que faire dans ce cas dans un monde en pleine ébullition ? Les diplomaties ouvertes à tous les environs protègent pour remédier à des tracas. C’est alors que l’on se demande que peut réellement faire les 623.000 km² de la superficie nationale devant apaiser cette tragédie ?

Ouvrir les portes de la RCA à l’univers, devient un danger pour ses hauts dirigeants qui, conscient de la pire difficulté, veulent bien tenter en guise de leur statut de souverain pays indépendant. Malheureusement, avoir des partenaires en dehors de la Mère-Patrie, crée le désordre on ne peut plus endiabler.

Cet engagement,  pourtant démocratique et hautement centrafricain, a un poids dont la lourdeur dépasse la planète entière. Que faire dans ce cas si les couches sociales ont un regain pour les avancées ultramodernes ?

Mais ce qui reste sûr, c’est le fait que le Centrafrique appartient d’abord et avant tout  aux Centrafricains ; qu’ils soient Noirs, une fois pour toute. Dans ce cas, le pays a toute  la chance de se relever. Par la force de qui ?

De ses filles et fils naturels dont se prévalent ceux qui sont nés en lui-même. Aller à gauche, aller à droite, fouiller au centre, n’est-ce pas la lutte qui revient aux bâtisseurs de l’empire ?

Comme l’autochtone avéré, la République centrafricaine reste et demeure la prunelle incontestable  de nos yeux. Nous avons combattu pour son passé, nous nous battons pour la raffermir et demain, elle sera NÔTRE. Aime ton pays et il t’aimera deux fois plus, n’est-ce pas ?

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