Par Thomas KOSSI
Bangui 9 février 2022- (Ndjoni Sango) : Le pays traverse un climat de rébellion qui sème les morts partout. La politique qui se mène à l’intérieur avec ses ancrages, donne de la frousse. Où vont la fille et le fils de cette entité dévouée à un avenir radieux ?
L’instabilité qui secoue la RCA, fait pitié avant tout à nous-mêmes. Les continents qui observent les malheurs des Centrafricains s’y penchent chacun selon son appréciation ensuite. Et enfin, la division qui se met en rang dans le courant politique ne permettra pas que c’est diviser pour mieux régner ?
Tout cela pousse le penseur de la vie nationale à se poser des questions parce qu’il le faut bien. Mais en définitive, qu’arrive-t-il qu’un pays comme la République centrafricaine aille en mal ?
Ce que l’on ne comprend pas clairement, vient du fait qu’un Premier ministre qui n’aura pas passé 12 mois, est convié à plier ses valises. L’on ne pourra pas comprendre que la politique est la politique. Elle blanchit. Elle noircit.
Tandis que grandir spécialement, les raisons sont au diapason d’un fabuliste. Car, seul, celui qui nomme, détient une petite vérité sur chaque être qu’il choisit pour ceci ou cela. A la longue, l’avenir nous dira tout. Que craindre si demain nous surprend dans le désordre?
Le clan qui se crée aujourd’hui dans la politique, vise un danger, peut-être à bas niveau. L’on note de la saleté dans les relations politiques qui, au lieu de mettre les gens ensemble, les divise énormément.
N’est-ce pas que l’on trace encore une fois de plus une nouvelle voie à la rébellion ? Celle qui ne se termine pas comme à l’heure du XXIème siècle en Centrafrique qui se meurt ?
Que les ressortissants de notre petit coin se tiennent la main de manière franche pour enrayer la pandémie qui s’annonce. N’est-ce pas que « diviser pour mieux régner »?