Pare Alfred YEMETCHIPA
Bangui 2 octobre 2022—(Ndjoni Sango): Les Centrafricains ne voulaient pas s’entendre pour construire leur pays qui accuse de retards accrus. Si les intérêts personnels priment sur les intérêts généraux, alors quel sera l’avenir de la nouvelle génération pour ce pays?
A bien voir de près, les Centrafricains ont un chapelet des plaintes. La République Centrafricaine a de pain sur la planche pour pouvoir résoudre un certain nombre de problèmes qui constituent un obstacle de taille à son avancement.
Il y a le respect de la hiérarchie depuis la tête jusqu’à la racine. Dans une République quand il y a la mutualité ou le partage égal, l’opinion, la pensée générale identique, cette dernière est susceptible de connaitre des avancées.
Il faut que tout le monde s’aligne derrière un langage commun pour que le pays puisse se développer. C’est difficile d’avoir deux (2) chauffeurs dans une même voiture ou l’un dit d’aller à droite et l’autre dit d’aller à gauche ce jeu risque fort bien de faire tomber la voiture dans un ravin.
C’est un mal qu’il faut vigoureusement lutter contre lui en prenant le pays par la tête tout en priorisant l’intérêt général par création des emplois sur toutes ses formes.
Le fait que les Centrafricains ne s’entendent pas favorise les ennemis à profiter de leur faiblesse et retirer quelques-uns du milieu. D’ores et déjà les Centrafricains devaient se mobiliser à l’unanimité pour lutter contre le néocolonialisme naissant.
Le pays a tant souffert et l’heure n’est plus à la haine faisons preuve de nationalisme pour briser les chaines. Qu’on se considère comme des nationalistes en vue de combattre le néocolonialisme sur toutes ses formes.