Par Thomas KOSSI
Bangui 2 juin 2020-(Ndjoni Sango): La livraison du quotidien Ndjoni Sango en République centrafricaine le 29 mai 2020, a été une source de pensée par un article, « Coronavirus : Les avis divergent ». Un résumé de pensées multiples des citoyens quant à ce mal-être qui tue à volonté sur la planète. Et surtout dans les nations très peu prospères.
Les réflexions des uns et autres éclairent parce que ceux qui sont hyper avancés ont la facilité et l’aisance de saboter le monde. QUI sera la communauté de demain dont les ressortissants seront à l’Eldorado ?
Les Etats-Unis, la Chine et la Russie sont les pays hautement développés qui se battent encore et toujours pour que le monde sache qui est qui et qui fait quoi ?
La société de l’heure jusqu’à un jour à venir, situera chaque personne et chaque esprit par rapport à ce que l’on doit savoir et connaître de la concurrence qui lie et délie ces collaborateurs antipathiques.
Les trois compagnons-ennemis se retrouvent toutes dans des systèmes communs à savoir, l’ONU, l’OMS, la FAO et encore quoi ! La route est longue, les expériences à se battre pour et contre sont nombreuses.
Tant les guerroyeurs que sont ces faiseurs de guerres et paix aux noms de discutailleurs à l’ONU, se tapent dessus à tout instant pour garder la ligne. Histoire de se quereller à l’instant pour entendre que l’on s’aime dans un amour fâcheux.
« Dans la même ligne d’idée, d’autres pensent plutôt que c’est la Chine qui, pour se maintenir à la tête de l’économie mondiale, a voulu déstabiliser son concurrent direct que sont les USA« , cette thèse est soutenue par les Américains eux-mêmes avec les déclarations de leur Président Donald TRUMP.
Que ce soit les guerres, le VIH/SIDA ou COVID-19, les conséquences sont la mort en surnombre. Alors, pourquoi aller ailleurs chercher plus loin la pure vérité ?
Les raisons et incitations à la déstabilisation sont trop bien tracées et légales pour s’envoyer des feux qui tuent et entretuent. Les grands perdants et malades de tels enfantillages sont tristement les domaines au préalable confinés dans des colonisations sévères et déshumanisantes.
Dans ces vieilles colonies qui sont devenues leur boîte de Pandore où ces supra enrichis traînent leur couscous qui les soulagent à tenir solidement les crosses des armes qui les dressent les uns contre les autres.
Maintenant que les autres puissances s’ajoutent aux premières quand on veut citer l’Italie, l’Allemagne, la France, la Grande Bretagne, la peur de mourir une dernière fois, n’ébranle plus le Centrafricain qui n’est autre qu’un squelette vivant.
La mort en tant que telle a survécu les années après années dans le pays que personne ne craint guère le fait de disparaître aujourd’hui.