RCA : un débauché a frôlé la mort au quartier Gobongo

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Centrafrique-Gobongo-Ndjoni-Sango
image d'illustration

Par Thomas KOSSI

Bangui 2 Juin 2020—(Ndjoni Sango) : La soif d’aimer hors normes perd l’amour qui dégrade individuellement. Il est écrit quelque part que l’amour ne doit se pratiquer que  dans les normes. C’est dire que les gens n’ont pas à faire ce qui échappe aux principes et créent le trouble comme on le constate ci-après. Car, vouloir embrasser deux hommes à la fois incite les autres curieux et témoins de se rebeller.

L’histoire qui retient l’attention pour le moment, regarde cette épouse, mère d’enfants dont le mari, un FOX sécurité en service, va perturber la nuit des compatriotes se reposant. Et comme madame a pris goût à cette escapade, ne la voilà-t-il pas se faire surprendre dans un comportement qu’un compatriote qualifie de « animal ».

La famille POUNASSA, à 23 heures avancées de la nuit, somnole d’un repos réparateur. Seulement, dehors sur la véranda, il se passe des choses que le chef de la maison pense tout de suite à des cambrioleurs. Très habitué, il cherche à voir de près, s’il ne pouvait pas intervenir pour parer à l’inacceptable.

Au moindre bruit de porte, les intrus occupant illégalement l’entrée de son habitation prennent panique et prennent la poudre d’Escampette. M. POUNASSA  croyant effectivement aux maraudeurs, lance un cri d’alarme qui met les environs en alerte.

Enfants, femmes et hommes, au nom de voleur, se précipitent. Le malheureux amoureux très rapidement se fait attraper. Et là alors, on le cogne comme un pire malfaiteur jusqu’à ce qu’un officier de police judiciaire, logeant dans le coin intervient pour  qu’il soit arraché  à la mort.

Dieu merci, le policier était intervenu à temps. Ce n’est qu’un mort vivant que l’on relève et la population se détache peu à peu de son  œuvre malsaine. Car l’autre est conduit sur proposition de l’homme en uniforme vers la maison du Chef de quartier pour la suite de l’affaire d’adultère.

Comme on le dit le plus souvent, 99 jours pour le voleur, mais un seul pour le propriétaire. Tant le monde tire sa petite conclusion, que la maîtresse de maison aura abusée de cette infidélité et le malheur présent survient devant la honnir en présence  des habitants informés à l’instant.

La petite histoire révèle aux uns et aux autres, que vivre en bonne vie coûte excessivement chère, que de vouloir se multiplier en saboteur des bons conseils qui préservent le renom.

Madame, sachant parfaitement  que le père des nourrissons étant en bataille quotidienne, se paie le beau luxe de se vautrer dans des bêtises qui souillent sa nature à jamais, vu qu’il n’y a aucun  secret dans ce petit monde.

A en croire les gens parler de cette perversion, le petit citoyen  est bel et bien père de famille avec une compagne de vie. Mais que voulez-vous quand le mal de jeter le pied dehors nous presse de commettre le pire ?

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