Par Thomas KOSSI
Bangui 22 juillet 2020—(Ndjoni Sango) : La RFI donne de bonnes infos en ce qui concerne ce que fait son pays. Une chose combien agréable. Elle agit dans le même cas pour les autres pays, quand elle ne se tait pas si les mercenaires tuent en Centrafrique. C’est pourquoi, on se demande si les armes que les militaires tchadiens ont riposté face à provocation de leurs confrères français devant le palais de la Présidence de leur Etat, n’est que jeu d’erreur dû aussi à des bavures de la force française.
Ce matin du 14 juillet 2020, Afrique Matin sonne sur l’erreur commise par les soldats en mission au Tchad. Quel type de mission ces forces armées de la Mère-Patrie opèrent dans une ancienne et amie République coloniale ?
L’histoire de DEBY et les forces françaises connaissent une large page que les intellectuels lisent quand le mal les prend. Ils se cassent la tête pour se dire préoccupés mais pourquoi cela. Parce que le pays visé en question, aura connu des troubles redoutables.
Une communauté que les gens ne cessent de qualifier de pays dérogeant à la règle des droits de l’homme dont l’excellence saute à l’œil.
A la cité du maréchal DEBY qui couvre le mal qui dévore le Centrafrique, rien n’empêche que les ressortissants qui meurent de leur mort trépidante, observent l’issue de cet acharnement que les maîtres-assaillants par intermédiaires, nourrissent, mettent en marche, pilotent, pilonnent et abusent selon leur cas de conscience.
Ils ont la capacité de nuire et faire disparaître comme bon leur semble, tant la vie qui s’efface comme le vent, les guettes et leur réserve comme pire ennemi de maux vivants. Les Centrafricaines, les Centrafricains oublieront difficilement que le Tchad instaure chez eux en ces heures, dont les traces resteront indélébiles dans la mémoire de leurs descendances, une paix délicate.
Que les amis et protecteurs du pays de l’autre côté du fleuve abondante, veillent au bonheur de notre voisin de longue date. Qu’ils l’aident avec la force de leurs bras armés à lui réserver un chapeau qui le berce comme tout bon bébé né de la bonne mère.
Cette mosquée à peine mise à jour, servira de grande citadelle dont la propreté et la nouveauté attireront d’autres touristes, aventuriers hors gamme devant s’extasier devant elle.
Le 14 juillet (fête française) qui a eu lieu avec des festivités amoindries, a fait la grande joie de ces maîtres d’hier et d’aujourd’hui du Tchad, qui a marqueré cette célébration de père ancestral.