Par Erick NGABA
Bangui 23 janvier 2021—(Ndjoni Sango) : Dans leur déclaration, les membres du Conseil de sécurité de l’ONU les attaques perpétrées par les groupes armés coalisés de CPC. Ils menacent de sanctionner les leaders de cette nouvelle rébellion à travers le régime de sanctions.
En félicitant les électeurs de la République centrafricaine de leur détermination à exercer leur droit de vote lors des élections du 27 décembre 2020, malgré les intimidations et les violences observées dans certaines parties du pays, les membres du Conseil de sécurité des Nations unies ont demandé à toutes les parties prenantes de respecter la décision de la Cour et de réaffirmer leur engagement en faveur de la consolidation de la démocratie et de l’état de droit.
Par la même occasion, ils ont condamné les attaques perpétrées dans le pays et menacé de sanctionner les responsables, auteurs et complices de ces actes.
« Ils ont condamné dans les termes les plus vigoureux les violations de l’Accord de paix ainsi que les violences perpétrées par certains groupes armés avec l’appui de l’ancien Président, François Bozizé, dans le but d’entraver le processus électoral. Ils ont rappelé que les personnes et entités participant ou fournissant un appui à des actes qui compromettent la paix, la stabilité et la sécurité de la République centrafricaine, notamment des actes qui menacent ou entravent l’entreprise de stabilisation et réconciliation, ou qui alimentent la violence, pouvaient être visées par le régime de sanctions du Conseil de sécurité », ont déclaré les membres du Conseil de sécurité.
Par ailleurs, ils ont exhorté toutes les parties signataires de l’accord de paix à honorer pleinement leurs engagements et à prendre la voie du dialogue et de la paix. Ils ont souligné qu’il était impératif de mettre fin de toute urgence à l’impunité en République centrafricaine et de traduire en justice les auteurs de violations du droit international humanitaire et d’atteintes aux droits humains et de violations de ces droits.
Ils ont également encouragé les autorités centrafricaines à poursuivre leurs efforts pour rendre opérationnelle la Commission vérité, justice, réparation et réconciliation.
Quelle hypocrisie ? Le vrai chef des rebelles est la sinistre francafrique. Il faut l’embargo. Par ailleurs, le gouvernement doit consolider davantagea relation russo-centrafricaine et accélérer le processus de l’implantation des bases russes dans au moins 4 villes stratégiques du pays.