Par Thomas KOSSI
Bangui 29 juin 2021—(Ndjoni Sango): Ces derniers jours, les ondes internationales faisaient bond de quatre localités de la République Démocratie du Congo qui, après enquêtes, ont déclaré que plus de 170 mineures sont en état de grossesse. De la même manière, que pense la communauté centrafricaine devant une telle turpitude d’à côté ?
Il reviendra à la population de se souvenir que dans les pages de Ndjoni Sango, l’on faisait allusion à l’amitié que les scolaires tissent entre elles le plus souvent. Ce cas malheureux était montré du doigt, parce qu’enfanter devient une sagesse dans le pays.
C’est pourquoi, l’homme de la plume qui tente de voir au lointain, pense qu’il est nécessaire de prendre les précautions indispensables qui pourraient, dans la mesure du possible, éviter cette mise en déroute. Ce message trouve-t-il une bonne voie d’entente à tous ceux qui fabriquent des enfants ?
Les grossesses désirées, combien d’hommes l’acceptent en ces moments difficiles ? Et que dire quand le couple se laisse surprendre par ce choc qui peut devenir une source de malaise ? Tout le monde prend cette déviation en véritable mal. Comme les foyers ne sont pas bousculés tant elle terrorise ! Comme elle peut parfois valoir la petite joie d’un petit groupe !
Ce qui est sûr, donner un enfant en âge qui ne convient pas, indispose la société dont la force de cautionner les cas du mal éduqué, dérange la position qu’on leur impute souvent. Alors, tirons la conclusion qu’il faut devant mettre un équilibre parmi nous.
L’adolescence, c’est la porte d’entrée dans le milieu des hommes et femmes mûrs. C’est pourquoi, savoir préparer ce comité qui pourrait venir continuer à faire du bien, sera la grande fierté des descendants qui n’auraient pas perdu leur temps d’ici-bas.
Et vu que les personnes avancées en âge ont cette faculté de mener la jeunesse au bon port, autant mieux qu’elle s’habille en bons tissus pour faire responsables, ceux qui seront bien dans l’avenir. Les filles-mères, à en entendre parler, doit provenir du rêve et non de la réalité qui blesse les sentiments humains.
Que les parents, tuteurs et autres, s’arment comme il faut pour négliger cette perturbation qui perde le monde et non l’édifie aux yeux de la planète. Les causeries respectables et pédagogiques doivent provenir des titulaires qui égailleront l’univers que de le conduire dans le trépas. La grossesse que d’aucuns appellent de tous leurs vœux, n’est pas acceptable par tous, alors que le vouloir reste et demeure un secret purement personnel.
Ouvrons le bon cheminement à la valeur de concevoir l’être, que de le précipiter au désespoir des uns et autres. L’âge de donner la vie ne peut être que possible, si les deux parties en prennent la bonne conscience.