Par Thomas KOSSI
Bangui 12 octobre 2021—(Ndjoni Sango) : La capitale centrafricaine, à première vue, présente un beau paysage. Les touristes auront un spectacle édifiant à visiter, car la population a l’air accueillant. Mais pourquoi la municipalité ne se donne pas la peine d’urbaniser les arrondissements comme une ville ultra moderne ?
Il suffit d’aller partout dans la ville, rien ne dit que des citoyennes et citoyens de bon augure sont embarqués dans la galère. Les surprises sont à découvrir, mais encore faut-il que les opportunités s’offrent. Des matitis, bars dancing, hôtels, centres de plaisance, etc, foisonnent.
Des voies multiples restent à mettre à jour et la belle vie de Bangui d’il y a quelque vingt années, rejaillira. N’appelait-on pas la R, La Suisse africaine ? Que les responsables en la matière se fassent valoir, la première cité centrafricaine fera le bel écho du pays en cœur de l’Afrique.
Où aller vu qu’il manque de canalisation qui draine l’eau vers la grande rivière Oubangui ? Tant les inondations sont pérennes, des flaques d’eau coulant partout, des trous se creusent et l’on a peur de s’aventurer dans une boue malveillante et inhospitalière.
C’est alors que la mairie, avec des entités prescrites et fermement diligentes, n’ont qu’à faire de multiples efforts nationaux devant la grande superficie à vendre partout la portée dans un monde assoiffée de ses innombrables richesses. L’on pense que la première agglomération de la RCA, manque totalement de plan cadastral.
Est-ce possible en cette période où le nouveau mode de vie bat son plein ? Réfléchissons et faisons comme tout va dans le bon sens pour que le Centrafrique sorte de son isolement.
L’urbanisation, une sacrée idée qui se creuse davantage, doit prendre son envol et se rendre aussi moderne afin que les compatriotes qui demandent la paix l’obtiennent. Car le temps qui court, va-t-il servir ou desservir le vivant pour des heures définies ?