Par Thomas KOSSI
Bangui 8 Janvier 2022—(Ndjoni Sango) : Comme le public le sait, les sachets plastiques devraient disparaître du sol centrafricain, selon le réflexe des hauts dirigeants. Il est curieux cependant que ces choses se maintiennent dans le quotidien de la nation. Or, les différentes interventions avec le public laissent croire que ces choses tuent le sol. Que pensez de cette précaution salutaire pour l’avenir des 623.000 km² ?
Les enfants dans les rues, les ventes des choses commerciales, partout, ces sachets foisonnent. Et pourtant, dans le monde, ces emballages sont à détruire carrément vu qu’ils nuisent à la société. Mais voilà que cette manière de faire n’arrange pas la destinée des filles et fils du pays. N’est-ce pas que cette petite entité qu’est la République centrafricaine se compte parmi les pays en voie de développement ?
Ces objets d’aller de l’avant, nous le voulons s’il est plus que rentable pour le peuple. Toutefois, ces cas que nous déplorons, il y a lieu de ne pas commettre l’imbécile devant le garder pour on ne sait quoi.
Les sachets qui vivent comme on le souhaite, feraient perdre l’avenir qui est à défendre comme les prunelles des yeux. C’est pourquoi, quand il le faut, il revient de faire attention devant le pire.
Les autres pays qui ont déjà pris la position de ne plus accepter ces sachets sur leur territoire, vivent l’âme tranquille. Ils sont loin de ne pas s’abîmer comme des crétins, ils ont, au contraire, la joie de faire preuve de leur indépendance. Car être libre, c’est de montrer que l’on sait là où l’on va, ce que l’on veut et pourquoi on le veut également.
Les emballages plastiques qui trompent les yeux, sont de véritables oiseaux de proie qui dénaturent sans céder au véritable souci d’aider à promouvoir. Tant il ne sert à rien de concourir au mal-être que de vouloir paraître au bon point. Le rejet des sachets fait-il régner une joie que de faciliter la déception d’une population ?