Par Le grand Kizima
Bangui le 15 juin 2022—(Ndjoni Sango). Depuis un certain temps, on assiste à un réel phénomène des actions en ordre dispersé dans le camp de l’opposition politique en République centrafricaine. Pour motif, les actions menées par le gouvernement pour rétablir l’ordre et rehausser le niveau de l’économie, poussent certains membres des partis de l’opposition à démissionner pour regagner la majorité. Ce qui frustre la plupart des leaders de l’opposition.
La classe politique ne cesse de faire l’actualité au quotidien ces derniers temps en République centrafricaine. Ce, à travers des démissions et des sanctions en cascade dans le rang de l’opposition. La raison en est que certains membres des partis politiques de l’opposition dénoncent la mauvaise gestion des biens des partis ou encore, le non respect des textes qui régissent le fonctionnement de leurs partis.
D’autres raisons sont aussi celles des actions menées par les autorités en place, visant à ramener la stabilité dans le pays et aussi à relever les défis du développement. Ces différentes actions combien positives, ont poussé certains membres des partis de l’opposition convaincus des idéologies du régime, à démissionner pour rejoindre le camp de la majorité, dans l’objectif de soutenir ces différentes actions pour le relèvement de la République centrafricaine, pays longtemps meurtri par des multiples crises militaro-politiques.
La République centrafricaine est un pays qui revient de loin à cause des crises sécuritaires qui l’ont fragilisé. Elle sortira définitivement de sa fragilité que si et seulement si, ses fils et filles, particulièrement, la classe politique s’unissent main dans la main au tour du président Touadéra pour le développement socioéconomique notre pays, comme le font la classe politique des autres pays.
