RCA: et si les opposants politiques comprenaient le sens du patriotisme ?

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Par Mamadou NGAINAM

Bangui, 7 avril 2023—(Ndjoni Sango) : Les crises militaro-politiques à répétition ont eu lieu en Centrafrique à cause de la soif de pouvoir de certains leaders politiques de l’opposition. Ces hommes politiques ont comploté dans le dos des Centrafricains en acceptant les propositions de certaines puissances dans le seul but d’arriver à leur fin en chassant du pouvoir un candidat qui n’est pas les leurs.

Plusieurs dirigeants ont passé à la tête de ce pays. Depuis le père fondateur Barthelemy Boganda, jusqu’au président Touadera, certains hommes politiques jusqu’à lors n’ont pas encore compris le sens du patriotisme. Trahir leur pays, en acceptant le pot de vin et mettre en œuvre les actions déstabilisatrices de ces puissances sont entre-autres les domaines de définition de ces leaders politiques.

Ces crises sécuritaires ont eu lieu par leur complicité car, ils ont préféré les intérêts individuel à l’intérêt collectif, c’est-à-dire celui de la volonté du peuple. Aucune crise ne peut réussir sans la complicité de certains hommes politiques de ce pays et quelques gens qui les suivent dans ces plans machiavéliques. La preuve en est que ceux qui ont amené ces groupes rebelles dans le pays les défendent tous les jours.

La rébellion dite Banyamulenge ; la Séléka et de la Cpc, démontrent comment ces hommes politiques regroupés dans l’opposition font l’apologie de ces mercenaires rebelles. Comme ça ne suffisait pas, ils ont exigé la tenue d’un dialogue qui devrait se tenir avec les groupes rebelles. D’après un adage qui dit « Il n’y a pas de fumée sans feu », ce qui veut dire qu’il n’y a que nos propres dirigeants qui ont ouvert la porte à la rébellion du fait qu’ils ont accepté les offres malsaines de ces puissances.

Il n’y a jamais la main visible de ces puissances dans les manœuvres déstabilisatrices contre la République centrafricaines, mais tout fini par se savoir du fait que certaines puissances ont provoqué la chute de certains dirigeants de ce pays après le refus de ceux-ci à vouloir accepter leur vœux. Le pays de Zo Kwe Zo serait comparé à celui de la Cote d’Ivoire ; Guinée-Equatoriale si et seulement si certaines filles et fils du pays avaient refusé l’offre étrangère.

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