Par Prince Wilfried NZAPAOKO
Bangui 30 août 2021—(Ndjoni Sango) : D’après le serment d’Hippocrate sur le conseil national de l’ordre des médecins, prêté par ces professionnels de santé qui jurent de préserver non seulement le secret professionnel de leur métier mais également de ne pas s’abuser d’une patiente en difficulté, ne se passe pas comme il se doit surtout pour certains gynécologues Centrafricains. Ils ne doutent pas un seul instant pour abuser des femmes à autrui lors des séances de consultation et autres examens.
C’est le cas d’un médecin gynécologue nommé Sylvestre Balégros, placé sous mandat d’arrêt pour escroquerie, abus sexuel et qui risquerait d’écoper d’une peine d’emprisonnement ferme pour les délits pour lesquels il est reproché par le conjoint d’une femme où il a fait le suivi médical depuis l’année 2014 avant son forfait.
Le nommé Aristide Martial Gomo a saisi le parquet de Bangui pour déposer plainte contre le médecin gynécologue Sylvestre Balegros, responsable d’un cabinet médical, qui a eu à faire un suivi médical de sa conjointe nommée Manuella Sezon qui par la suite a eu deux enfants avec son conjoint.
A la fin la nommée Manuella affirme à son concubin qu’il n’est pas le père de leur second enfant en lui prouvant la vérité que l’enfant est plutôt celui du docteur gynécologue.
Une vérité foudroyante qui lui a fait comprendre que le docteur est non seulement son rival mais également le père d’un enfant qu’il croyait pouvoir être le sien. On dit toujours que la femme est la seule qui peut reconnaitre le père de son enfant. Sur ce fait, elle a provoqué la séparation d’un couple qui a duré 9 années à la date du 6 avril 201
L’on se pose la question de savoir si et seulement si on peut encore faire confiance aux gynécologues qui sont sensés suivre médicalement les femmes au foyer ayant des difficultés de procréation.
Le serment d’Hippocrate prêté par les docteurs que ça soit un gynécologue ou un médecin généraliste leur permet de détruire un couple ? Affaire à suivre….
