Par Thomas KOSSI
Bangui 28 septembre 2021- (NdjoniSango) : La République centrafricaine avait connu des moments de gloire à un certain moment. Le chemin de la croissance et du développement était tracé et le peuple n’attendait que la force de ses dirigeants pour être heureux. Mais, où en sommes-nous aujourd’hui ?
Les souvenirs rappellent les avantages dont le pays s’en glorifiait. Les 65(soixante-cinq) bateaux, la première télévision de la région, les petites industries de la contrée et bien d’autres accessoires devant grandir l’économie, ont tous volé en éclat. Tant les appétits politiques énormes des uns et des autres, ont gaspillé la chose trop sacrée pour l’avenir. Les coups d’Etat, les mutineries, les grèves et tant d’autres éléments sont entrés en jeu et le pays est carrément à terre.
Mais que sont devenues les autres nations qui commençaient en même temps que nous ? Les unes sont mal foutues et les autres volent comme elles l’entendent avec la situation que nous connaissons en ce moment. Seulement, nombreux sont ces gens qui désiraient être comme nous, dont le voile de l’apogée prenait le plaisir d’agrandir les ailes. Cela veut dire que les Centrafricains dans l’ensemble, faisaient la loi d’espérer selon le constat qui s’imposait.
N’est-ce pas que la République se préparait à aller vers le point du bonheur extrême ? Notre pays était sur la bonne voie pour être le plus infiniment heureux. Malheureusement, non. Nous serons revenus en arrière pour 20 ans.
Avec les nouveaux efforts qu’entreprennent les hauts dirigeants de l’heure, l’espoir peut renaître si la paix sans tâche se renoue. Les efforts comptables, visibles sont observés car ce qui se voit de nos jours peuvent témoigner de la grande espérance de ceux qui cherchent à vraiment mettre le pays sur le cap. Tant, la régression qui semble se passer chez nous en maladie incurable, vaut la peine d’être écarter du chemin noirci. La volonté y est en ces temps-ci.
Hier, si la route du progrès a été bloquée, les gouvernants de maintenant qui se battent farouchement pour trouver la chance à ce que la République centrafricaine trouve le bon sens rayonnant. Tout sera oublié alors et la sérieuse félicité qui viendra en ces instants, fera de notre contrée, un sacré domaine.
