Par Thomas KOSSI
Bangui 2 janvier 2022—(Ndjoni Sango) : La presse situe l’auditeur sur le mal des Villes qui sont lamentablement sales. Pour nombre de ces informations, la ville de Brazzaville est la zone ciblée. Que dire de Bangui où la saleté gagne du terrain par-ci, par-là ?
Les capitales dont on parle à la radio, ont chacune une Mairie. Il y a les services des Entretiens qui pavoisent, mettent les centres dans le beau milieu pour les regards. Seulement, si de nos jours, on déplore ces côtés dans les centres urbains, l’on ne peut comprendre que cela fasse mal. Car dans les coins où les hommes évoluent, le mal doit y être. La logique aura voulu que l’on fasse ce qui est acceptable pour éviter ces bavures.
Dans les marchés Gobongo, Combattant, Fouh, PK 12, des tonnes de saletés jonchent le sol partout. Les vendeurs, les clients, tous ceux qui passent et vont-là, jettent les poubelles autour d’eux sans comprendre que c’est un endroit à respecter.
Le vendeur est assis et surveille tout autour de lui. Le client qui achète sait que des personnes de sa trempe sont-là pour marchander. Cela sous-entend que les uns et les autres ont à avoir un comportement commun : le profond respect du milieu.
Malheureusement, l’insalubrité étant telle, dès que la pluie tombe, l’on ne marche que dans la boue. Le pied pèse lourd et le soulever, fait problème. Que faire alors pour que la propreté dans son plein sens vienne servir les hommes qui en ont tant besoin ? Comment faire de son mieux pour sauvegarder la Ville dans un milieu sain ?
