RCA: le transport en commun et son impact sur l’administration générale

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Centrafrique-Bangui-Ndjoni-Sango
Circulation dans la ville de Bangui @crédit photo Erick Ngaba

Par Thomas KOSSI

Bangui 13 avril 2021—(Ndjoni Sango) : Un problème réel auquel le Centrafrique se confronte, se résume en phénomène de transport qui cause du tort à la marche du pays. Le mauvais découpage de la ville en tant que capitale d’une république, provoque des failles. Comment résoudre un tel dilemme si l’on ne fait pas attention à temps ?

Les ministères de la Sécurité, du Transport et du Commerce ont une capacité véritable de surseoir à la difficulté nationale. Parce que, il revient à ces entités de se parler et coordonner ce qui se passe dans la ville. Tant un bon déroulement de ce qui se passe au jour le jour partout, doit les mettre aux aguets de la vie de la capitale.

Mais, on semble comprendre que le pays s’en va sans que quelques personnages de hauts rangs ne songent à son épanouissement. Qu’est-ce que cela  peut-il dire aux compatriotes qui savent voir un peu clair dans la maison ?

Aller à Bangui, coûte aujourd’hui du diamant à amasser. Il n’est pas donné à tous cependant, de recueillir cette pierre précieuse quand bien même il a de l’essor. Chaque responsable sait pourquoi il est appelé à diriger un cabinet comme on les a cités. Le dommage s’installe quand on sait finalement que les gouvernants et tous ceux qui les soutiennent ne font absolument rien pour satisfaire la grande masse qui, la matinée, le soir, se grouille pour se bagarrer et gagner son petit pain. Mais a-t-elle la possibilité qui lui donne toute la facture de lutter comme il faut ?

Posons la question aux trois membres de gouvernement présumés devant exercer dans ce sens. Beaucoup pensent alors que si la police tente de mettre de la loi sur les routes, le problème est à 100 pour 100 déplacé. Erreur de jugement.

La vie de la Ville, il faut vraiment qu’on le sache exactement. Sinon, tout le monde qui veut être à la tête du pays, même s’il sort d’un gîte ultra sombre, se croit capable de veiller honnêtement à tout et efficacement. Seulement de visu, le désordre s’amplifie. Et l’étranger de criailler, qu’elle déshonneur !

C’est pourquoi, que les bus, taxis et taxi motos soient comptabilisés et disposés de manière à ce que chaque citoyen devant aller à gauche, à droite passe son petit bonhomme de chemin sans trop se lamenter, sans trop attendre et sans trop médire de la circulation routière urbaine.

Comme la presse joue le jeu qui lui revient de ramener les choses à la norme, tout un chacun a son sens nécessaire pour se refaire une œuvre dans le but qui convienne à tous. Les incompétences pourraient, dans la mesure du possible, s’envoler et laisser la place au bon constructeur de l’empire.

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