Les Jeux Olympiques et la participation centrafricaine

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Une délégation centrafricaine aux JO de Tokyo

Par Thomas KOSSI

Bangui 7 août 2021—(Ndjoni Sango) : Depuis 1968, la RCA ne manque pas d’être présente à l’organisation des rencontres internationales, ces jeux olympiques. Quels en sont les rendements jusqu’alors et les penchants nouveaux  dans ce domaine ?

Le journal NdjoniSango ne cesse de parler de sports dans les lignes de ses parutions. Les confrères qui font ce travail pensent à tout  en rédigeant leurs textes. C’est pourquoi, les J.O qui se déroulent en ce moment à Tokyo ne leur sont pas  muets vu qu’ils ne sont pas sourds. Revoyez les publications y afférents et vous en tirerez la conséquence. Dans la présentation d’un journal de Radio Ndeke Luka, faisant un rappel de la participation de la République à cette démonstration des muscles, il a souligné l’année 1968.

Il y a de cela plus de cinquante ans que les athlètes centrafricains font des pieds et des mains pour dire qu’ils existent et font la même chose que leurs collègues du monde entier. Malheureusement que lors de  cette retrouvaille de la planète, ils assistent à tout ce qui se passe, sans que les chroniqueurs sportifs ne fassent cas des années de leurs fastidieux préparatifs. Ils n’ont  jamais obtenu, ne fût-ce qu’une médaille de bronze ! Depuis ce temps ?

Que faut-il faire en conséquence devant inciter les sportifs de notre pays, à briller comme les autres du monde en général, en arrachant les médailles dans tous les ordres ? Car, ceux qui vont sur ces sites ne sont pas des  extraterrestres ! Ils ont une petite vie ici-bas. Seulement, ils l’exploitent au maximum. Les résultantes sont étalées sur les podiums pendant lesdits  jeux.

Faisons des efforts dans ce sens. Tenons à ne point perdre de vue cette facilité d’en tirer le malin plaisir qui nous fera sauter nationalement  de joie. Que les filles et fils du pays choisis pour la cause, échappent à bien de choses néfastes. La connerie de prendre un athlète par pire sentiment corruptif  que plutôt par LE BON MERITE.

Les responsables nationaux n’ont qu’à s’échapper de la maladive tension de vouloir se partager les frais de mission avant de dire, toi, vas-y pendant que  le médaillé est abandonné à son triste sort. Et là, le pays entier perd pendant  que ta pauvre gourmandise et tes vilaines envies  auront  voulu ce malingre  échec.

Boganda est mort, non pour la pauvreté mais encore en sur avantage, l’EXTRÊME RICHESSE. Pensons-y et la force qui est la nôtre fera resplendir la République centrafricaine comme une extra potion de SPORTS de n’importe quelle CATEGORIE. Que les Athlètes veillent à cette abondance par leur maîtrise de forte dose !

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