RCA: le Journaliste Erick NGABA sous les menaces de Martin Ziguelé et de sa clique

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Erick NGABA, Journaliste Directeur de Publication du média Ndjoni Sango dans un studio de la radio BBC Afrique en 2018 à Dakar

EDITORIAL

La Rédaction

Bangui 19 juin 2022— (Ndjoni Sango): Le Journaliste Erick NGABA fait l’objet d’une campagne d’incitation à la haine et des menaces venant de la part de l’homme politique Martin Ziguelé et sa bande du parti MLPC en décomposition. Sur les instructions et consignes de cet homme politique souvent accusé de connivence avec la rébellion en RCA, les apprentis communicants de la cellule de communication du parti MLPC mènent une propagande de dénigrement, de l’incitation à la haine à l’encontre du journaliste, l’affichant sur les réseaux sociaux comme étant l’élément clé dans le dispositif de la propagande russe dans les médias centrafricains.

Décidément, Martin Ziguelé qui se trouve dans une situation embarrassante depuis la procédure de sa destitution par des cadres du bureau politique du parti MLPC, cherche à déverser sa colère et sa haine sur tous ceux tentent juste de prononcer son nom.

En quête de légitimité, l’homme politique centrafricain le plus doué dans les coups bas a décidé de s’en prendre au journaliste Erick NGABA et au média que celui-ci dirige depuis 2015 « Ndjoni Sango ». Il a ainsi décidé de relâcher ses chiens galeux à multiplier des messages de haine et des affiches incitant à la haine et portant atteinte à la vie et à l’honneur de ce journaliste de grande renommée en RCA, qui a juste fait son devoir qui est celui d’informer le public.

Le péché qui lui a couté cet acharnement et cette campagne de dénigrement, c’est le fait de traiter et publier un communiqué des cadres dissidents du MLPC relatif à la destitution de Martin Ziguelé à la tête du parti, alors que d’autres médias ont aussi traité ce communiqué. Mais pourquoi contre seulement Erick NGABA et son média ?

L’on comprend que tous ceux qui font des critiques contre Ziguelé sont automatiquement associés au « Wagner » et au régime de Faustin Archange Touadera. Dépourvu de la culture démocratique, Martin Ziguelé a inculqué une culture politique de haine à des jeunes en quête de repère qu’il a employé pour gérer sa communication au sein du parti MLPC. Il s’agit notamment de Keny YAMBA, Anthony ODOM qui sont transformés à des incitateurs à la haine sur les réseaux sociaux depuis France où ils résident.

C’est sur les réseaux sociaux que ces apprentis communicants recrutés à la cellule de communication de Ziguelé, entament la propagande d’incitation à la haine, et de dénigrement. Des commentaires outrageux et incitatifs, des menaces, des messages haineux et des vidéos live de préméditation sont rangés dans les groupes WhatsApp et sur Facebook contre le journaliste Erick NGABA et son média Ndjoni Sango.

« Voici le vilain crane de la plume propagandiste de Wagner en RCA. Certains centrafricains apparaissent comme l’inversion même de la grandeur patriotique, du bien commun. C’est à dire la patrie. Ils préfèrent leurs intérêts personnels comme une fin en soi. En exemple, monsieur Eric Ngaba. Journaliste de son état, ce presque lettré, licencié des cours élémentaires primaires, est un élément clé dans le dispositif de la propagande russe dans les médias centrafricains », un extrait du message d’une affiche postée sur les réseaux sociaux par les apprentis communicants de Martin Ziguelé.

Or, tout le monde le lit dans la presse. Le journaliste Erick NGABA est beaucoup connu et suivi sur le plan national et international pour sa plume et pour son éditorial traitant des sujets brulant d’actualité. En quoi et à quel niveau, est-il associé au dispositif de la propagande russe dans les médias centrafricains, alors qu’il dirige lui aussi un média?

Par contre Martin Ziguelé, l’homme politique avec une boulimie de prendre le pouvoir par tous les moyens, est connu, même par le dernier Centrafricain, pour son accointance avec les groupes armés afin d’espérer s’emparer du pouvoir en RCA.

Ainsi, le journaliste Erick NGABA et sa rédaction se réservent le droit de saisir la justice centrafricaine et internationale.

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