Par Prince Wilfried NZAPAOKO
Bangui 28 janvier 2022—(Ndjoni Sango): Le développement dans son terme propre passe tout d’abord par le changement de la mentalité des citoyens qui est un facteur clé pour la réussite d’une nation. Que ça soit dans le domaine économique, culturel et autre. Dans un pays tel que la Centrafrique en voie de développement, peut-on compter sur ses propres filles et fils pour retrouver un élan ?
Le développement tant souhaité par le peuple centrafricain, qui souffre depuis plusieurs années de multiples crises politiques et la mauvaise gestion des biens nationaux, est loin de faire sa place dans ce pays.
En ce sens que les efforts déployés par certains ne sont pas appréciés par d’autres. Tel est le cas de nombreux plans machiavéliques qui ne sont pas bénéfiques pour le peuple souverain.
Alors l’on se pose la question de savoir si les compatriotes sont déjà près pour relancer ce grand défi qui est le développement multidimensionnel ? Vont-ils facilement accepter les conditions à remplir pour que ce pays des merveilles puisse être compté parmi ceux qu’on appelle les pays émergents ? Tout passe premièrement par l’amour de la patrie, un pour tous, tous pour un.
Le développement a aussi ses côtés négatifs sur un pays. Avec le progrès technique, les machines vont remplacer les hommes pour une efficacité et une rapidité dans la production.
Cette situation va créer le chômage qui reste encore un handicap pour ce pays. Sur le plan industriel, il y aura la pollution de l’air avec les produits utilisés. Ce qui va jouer sur la santé des habitants qui sont à la proximité des usines.
Le côté positif du développement est qu’avec la nouvelle technologie, on assiste à une amélioration des moyens de communication. Des nouvelles structures qui verront le jour, des inventions et autres infrastructures qui feront également la joie des Centrafricains.
Sur le plan sécuritaire, une stabilité sur le territoire national et des frontières, permettra à la RCA d’avoir une paix définitive tant souhaitée.
