RCA: le règne de l’homme du 30 mars 2016 fait croire à un développement ?

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Par Thomas KOSSI

Bangui 29 mai 2020—(Ndjoni Sango) : Les gouvernances qui se seraient succédé en RCA, ont marqué en ce qui concerne leur évolution, d’une mine de particularité. Aux unes on a relevé la volonté de faire que l’on retenait par méchanceté ; aux autres, l’incapacité, parce que n’ayant aucune base de mener la barque à bon port. Aujourd’hui, la vision semble aller autrement que ce qui se faisait jusque-là. Qu’en penser exactement ?

Le 30 mars 2016, le président de la nation prêtait serment avec la force ostensible  de faire avancer coûte que coûte la responsabilité qui est la sienne dorénavant. Parce qu’accepter devenir la tête d’un pays, fait voir que l’homme fort du pays, prenait l’engagement de même se sacrifier pour le rôle qu’il désirait jouer désormais.

F.A.TOUADERA, devant Dieu et les humains, se dessinait pour un sacrifice grandiose. Mais BOGANDA est mort pour ce pays, non ?

Et comme on le dit généralement, il n’y a pas un sans deux. Le sacrifice reste malheureux toutefois, le résultat à la longue immortalise et draine l’individu dans des esprits mortels.

Le tout pour l’heure, c’est de faire un petit tour de touriste intérieur pour comprendre que le pays change de visage. Le Centrafrique se veut un pays de hautes et édifiantes constructions.

Constructions ultra modernes au vu et au su des bâtiments qui émergent des sous-sols et que des naïfs prennent pour des secrets des puissances occidentales innommables et insoupçonnables. Les maîtres de constructions en matière d’arpenture, dépassent largement les toitures gothiques et romanes d’antan des beaux et illuminés siècles occidentaux.

L’Avenue des Martyrs par exemple,  s’habille à l’ère de TOUADERA, de costumes Italiens ou Japonais tant leur finesse et beauté crèvent les yeux des badeaux qui tuent leur temps à les adorer immensément. Tout est extrêmement magnifique à considérer, jure-t-on.

Tous les recoins de Bangui, et certainement quelques villes de l’intérieur de ce sacré paquet de l’Etat de la sous-région, bénéficient de ces changements dans  le port au quotidien de notre nature naturante.

Comme le laissait entendre un Américain du Corps de la Paix  à une époque passée, le Centrafricain s’habille comme un Français à Paris. Combien de cantines possède chacun des habitants dans le pays, se demandait-il ?

N’est- ce pas que cet éloge touche la fille et le fils de cette partie du continent suffisamment passé à tabac ?

Le constat est plus que réel et il faut que le Chef de l’Etat et sa suite se mettent évidemment à une gigantesque œuvre, tant l’essor de la République centrafricaine dépassera ses propres limites et son engouement gagnera le monde entier.

Les habitants du pays, eux-mêmes, prendront le rythme effréné de leur environnement à grandir dans le souci de galvaniser leurs dignes et respectueux dirigeants. C’est alors que les intéressements de leurs collaborateurs seront enviables aux yeux du monde.

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