RCA: les errements du pays, quel type de diplomatie appliquer en conséquence ?

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Centrafrique-Bangui-Ndjoni-Sango
Vue partielle de la capitale centrafricaine, Bangui @photo Diaspora

Par Thomas KOSSI

Bangui 9 février 2021—(Ndjoni Sango) : Que dire des problématiques d’un pays qui brouille le monde par la diversité de ses malheurs indicibles ! Au jour le jour, les grands de cette planète ont dans leur mire, les tableaux combien sombres de l’Etat centrafricain. Que lui arrive-t-il et que faire dans cette situation si alarmante ?

Depuis 2002 jusque-là, la République que les indépendances ont pu accorder aux dignes habitants d’un îlot comme le nôtre, souffre et continue de mourir à petit feu. Tout le monde concourt selon sa philosophie, agréable ou non, pour faire passer temporairement le dur et cocasse mal.

L’on ne cesse de recourir aux Facilitateur et Garants  qui donnent l’impression de vouloir changer le visage de ce socle de hautes et gigantesques richesses. Ils se  battent comme ils peuvent vu qu’ils ne manquent de rien pour bâtir et détruire. Comme la RCA le vit pleinement, la Coalition des Patriotes pour le Changement (CPC), fait un jeu fort terrible et choquant.

Leurs bienfaiteurs, animateurs et financiers troublent la fête qu’ils sont les maîtres eux-mêmes à faire radier. Dans quel intérêt ?

Nous ne pouvons que rien dire si la faiblesse qui est de notre côté ne peut réagir autrement. C’est pourquoi, les femmes et les hommes que nous aurons aimé qu’ils nous aident à nous en sortir, soient les chauves-souris de la dernière espèce. Les fins diplomates de carrière qui pensent comme Satan dont les bontés n’ont plus de place chez nous.

Ces concitoyens de longues dates, ayant traversé les arcanes des pouvoirs faillibles et chocs, réussiront ils à faire courir les humains forts et las à se dire : « Arrêtons la chanson. Les pas sont trop lourds et nous trainer dans cette profondeur ne serait que mort totale de l’univers » ?

Tant,  les oiseaux de notre acabit ne vivent que pour hurler et acclamer. Chercher à aller au-delà de notre histoire, veut dire simplement, mourir et ne pas perdre de vue que la vie est insignifiante pour le peuple que nous sommes.

La diplomatie que nous chantons au soir de nos misères, elle ne peut survivre pour la paix que nous réclamons à cor et à cri. Le ciel, comme on ne cesse de nous retaper dans les oreilles, est la pure félicité. Son tableau doit nous inciter à nous en sortir tel que le veut la Puissance Suprême.

Car ne pas connaître cette nature si élogieuse, pousse à ne pas bondir dans les mystères du Diable qui veut que la Nature lui obéit pleinement. Son cercle est grandiose et ne pas y passer, dénature le visage des êtres quels qu’ils soient.

L’homme qui pourra pousser à voler dans ce cercle, grandira de sa ferveur déshonorante, pendant que le bien, la bonté et le vrai, habiteront dans le cercle des imbéciles.

Centrafrique, déshonneur et bouillabaisse, comment réussir à s’en tromper pour revivre la paix sublime que la Volonté a mis en place ?

Fouillons drôlement avec des femmes et hommes que la belle nature a mis en place, ces négociateurs féroces et surdoués, feront le bonheur des uns et des autres qui nagent le plus souvent dans la joie de la création.

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