RCA: quel comportement vestimentaire faut-il adopté?

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Une vue des participants au forum économique de Bangui pour illustration

Par Thomas KOSSI

Bangui 16 avril 2021—(Ndjoni  Sango) : Que dit la communauté nationale quant à l’habillement qu’au jour au jour, tout le monde porte ? Les hommes se mettent dans une veste qui ne fait pas réagir. Les femmes, au contraire, créent un étonnement. Comment apprécier ce qui nous sert de nous cacher ce qui ne doit pas être vu en désordre ?

Le soleil plane sur les têtes des congénères. Chacun se promène, s’en va comme bon lui semble. Mais aller à gauche et à droite fait dire que ceux qui admirent un homme ou une femme partagent  la même opinion ? Question qui trouble parfois, car on ne sait jamais ce qu’il faut penser exactement.

En Centrafrique, l’on semble vivre comme en métropole. Là-bas, la géographie laisse entendre que la population subie quatre saisons. Lesquelles saisons marquent les femmes et les hommes, mais surtout la jeunesse qui vit un changement tout le temps. Cette partie des Français bougent selon les crocs qui les piquent. C’est pourquoi, voir ces jeunes s’habiller, appelle à ce que l’on ne pense plus aux ancêtres africains.

La RCA a, quant à elle, deux saisons. Une pluvieuse et une sèche. Ces deux intempéries sont-elles des incidences sur les gens qui vivent comme cela ne les gênaient nullement ? Cependant, regarder les promeneurs de tout âge vadrouiller là où ils veulent, leur costume ne laisse point le penseur du siècle ne rien dire.

Et pourtant, on s’habille aux Etats-Unis, en Grande Bretagne, en Allemagne, en Australie, au Japon et partout dans le monde. Voir de quoi les commerçants, le baladeur, la cuisinière, le paysage citadin, les lambda, tout le monde va comme il faut dans une jupe ultra légère  ou une veste bizarre  à la seule raison que tout le monde, non plus, n’est pas aussi content.

En Centrafrique, faisons la preuve que le comportement vestimentaire fait scandale. Les apprenantes dans les institutions d’apprentissage, créent le désordre qu’on ne peut continuellement tolérer. La ville crie mais rien ne change. C’est pourquoi, que faire pour que la situation de l’habillement mette les gens à l’aise ?

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