Par Thomas KOSSI
Bangui 18 août 2021—(Ndjoni Sango) : La République centrafricaine fait partie des pays en voie de développement. Cela veut autant dire que rien n’est simple. Il faut donc se battre avec les coups de poings qui conviennent pour chasser la pauvreté. Qui a le mérite, qui ne l’a pas ?
Le monde chaque fois, parle du mal que la jeunesse enregistre quant à sa manière de vivre pas comme il faut : Sa misère. Partout, l’on sait que rien ne peut l’emmener à dire autre chose que de vouloir vivre dans le meilleur des mondes. Malheureusement, tout va contre ce que toutes les créatures comptent désormais comme un bien-être social. Et de ce fait, l’on fait bois de tout feu pour remplir les conditions.
Aujourd’hui, les âges des esprits jeunes qui se battent au soleil, fait parfois pitié. Ce matin du 18 août 2021, un présentateur de la radio Ndeke Luka a fait allusion à l’âge de huit à trente-cinq ans des lutteurs pour la vie quotidienne.
Se regroupant dans une maison qui tombe en ruine, les jeunes forcent les muscles pour se trouver facilement comment ils peuvent s’en sortir. Cette bande fait de son mieux tant l’échec qu’elle bafoue, n’est pas inscrit dans leur rang. La totale réussite vaut l’éclat de leur aventure.
Que ne font pas ces jeunes pour réussir à combattre les peines ? Rien n’est absent de leur ligne car, brillamment avoir son pain quotidien, vaut le pesant d’or qu’ils soupèsent. Et l’emporter, les fait tressaillir de joie extrême dont le poids leur pèse dessus.
Alors, vive tous les travaux dont cette marmaille en exporte son butin: maçonnerie, électricité, tailleur, cordonnerie, cuisinier, serveur, etc… Pourvu que le monde continue à vivre au-delà de ce que les jeunes pensent à leur époque.
Comme rien n’est absolument sûr à notre temps, faisons le minimum qui convient. Autant faire ce qu’il est possible de faire mettre en jeu à cette minute, créons le genre qui sied et la petite paix s’imposera. Que la jeunesse vive et petit à petit le soleil brillera pour tous.
