Et si la 76ème Assemblée générale de l’ONU se penchait sur la question du terrorisme en Afrique

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La salle du Conseil de sécurité de l'ONU à New-York. (Reuters)

Par Marly Pala

Bangui 24 septembre 2021—(Ndjoni Sango) : Le mardi 21 septembre dernier, s’est ouverte la 76ème assemblée générale des Nations-Unies, regroupant 193 pays membres à New-York aux Etats-Unis. Une occasion qui permet aux participants de passer sur la tribune pour débattre sur les questions liées aux défis de l’heure. Et si cette session s’intéressait  au sujet de la montée du terrorisme en Afrique ?

Depuis le commencement du 21ème siècle, le phénomène du terrorisme s’accroît tant en Afrique que dans le monde entier. Ces jihadistes tuent, enlèvent des personnes, bombardent des villes, conquièrent des territoires et prennent des gens en otage. Ceci, pour poser certaines revendications qui leur sont propres.

Aujourd’hui, cette pratique terroriste devient comme un commerce pour ces mercenaires. Car, ils enlèvent des personnes pour demander une rançon après, ou encore, certains individus les paient pour commettre des crimes et s’attaquer à des gouvernements. Et ce fléau combien grandissant, ne trouve que des condamnations verbales de la communauté internationale comme solution, alors que cela perdure.

Malgré plusieurs  déploiements et opérations des forces armées internationales dans les pays menacés par ces terroristes, cette pratique continue de semer la terreur dans les régions d’Afrique subsaharienne, du Sahel et de l’Ouest. Ce qui provoque le déplacement par milliers, des personnes qui fuient ces multiples exactions.

Et en ce moment, se déroule l’assemblée générale annuelle des Nations-Unies qui est une importante occasion de débattre sur les problèmes cruciaux de l’heure qui font vibrer le monde. Et si ces multiples échanges sur la tribune, tournent autour de la montée du terrorisme et d’une solution adéquate pour une réponse efficace ?

Cette assemblée générale se déroule au moment où la prise de pouvoir par la force, le terrorisme et les violations du droit international humanitaire deviennent récurrents dans plusieurs pays africains, mais aussi, dans le monde.

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