RCA: la formation professionnelle, gage du développement national

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Les inspecteurs douaniers en fin de formation au Burkina-Fasso, image pour illustration

Par Thomas KOSSI

Bangui 17 mars 2021—(Ndjoni  Sango) : Le peuple se rappellera de la rencontre internationale à Windhoek en Namibie,  qui a lancé  bien de début de choses en Afrique. Entre autres, le relâchement de la démocratie, la presse, et quoi encore ! Le penseur négro-africain n’aura pas oublié l’Education qui forme l’Avenir. Alors, parlons de la formation professionnelle qui n’est point un petit arbre à détruire aisément.

Les médias en Afrique, vu qu’elle se recherche encore, jouent un jeu que le monde ne cesse d’apprécier. C’est la même chose pour la formation professionnelle que bien de compatriotes passent pour un jeu de gamins. L’univers tourne grâce aux techniciens, citons le maçon, le menuisier, le cuisinier, le tailleur, le mannequin, le danseur, l’acteur, le plombier, etc…

Aux Etas unis en ces instants pratiques, ceux qui venaient d’être cités sont à la recherche de l’emploi. Il faut penser à eux si vous ne voulez pas avoir de problèmes de gouvernance.

En Centrafrique où l’école prend une attitude fantastique, il est plus qu’important de rappeler à ces initiateurs de ne pas perdre de vue cette vigilance à ne pas relâcher cette vision. Sa pratique montre aux yeux du monde, que la rébellion que nous semblons adorer chez nous, se refroidira tant que nous ferons de la formation des nôtres, les premiers fondateurs de la République.

Ils sont les hommes à tout faire. Ils ont les armes, petits et grands calibres, qui conviennent pour l’édification  hors-norme d’un Etat. Cela veut dire que les citoyens qui auront tout appris par eux-mêmes, n’attendent que la planète ne les perde pas de vue.

La soif dont les filles et fils du pays enduraient, consistait au fait que les aubaines ne s’ouvraient pas pour eux d’être opérationnels. Avec la conférence citée ci-haut, les opportunités se sont ouvertes et la joie s’installe de plus en plus pour que la vie en tant que telle donne la chance à chacun de se jeter à l’eau. Seulement, que le désordre ne prenne pas la grande place.

Que chacune ou chacun réfléchisse comme il faut, pour mener le jeu avec sincérité et amour pour la construction de la patrie. Tant,  ces bâtisseurs de l’empire, une fois que le berceau des Bantou les aura façonnés, fabriqués avec la dure expression de faire avancer leur habitation, la République centrafricaine sera au top de la mondialisation en ces nouveautés ultra-modernes.

Un pays ne se construit pas en une seconde. Mettons seulement la main à la poche et trimons courageusement.  Un jour, les hommes que les nationaux auront mis sur les chantiers divers, leurs propres chantiers également, feront éclater la joie de ce pays qui a voie au rendez-vous de l’universel.

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