Par Thomas KOSSI
Bangui 22 janvier 2022—(Ndjoni Sango) : La victoire des Comores a fait trembler une citoyenne comorienne qui est venue des Etats-Unis, encourager son petit-fils à Limbé, au Cameroun. Du continent américain à l’Afrique, la distance est fort énorme. Cependant, quand ce petit-fils gagne contre le Cameroun, la distance, quand elle est longue, représente-t-elle encore une difficulté pour qui que ce soit ?
La compétition interafricaine crée une étape de gloire pour un grand nombre de ses habitants. Tant, appartenir à une la flamme des équipes devant se bagarrer pour ravir le trophée sportif, donne un parfait enthousiasme pour les uns et les autres. Surtout, si vos éléments participent comme concurrents aux éliminatoires.
Mais avant, autant mieux préparer ses partenaires qui donneront la joie la plus extrême si un but surprise tombait. Parce que dans ce sens, les continents, quels qu’ils soient, cesseront d’être aussi loin l’un de l’autre.
La vieille dame qui ne sait comment exprimer sa satisfaction, se dit tout engagée à aller jusqu’à la fin de la compétition de la CAN. L’avenir fait dire que le trophée reviendra à qui ?
Ne le sachant nullement, madame garde le bel espoir que la chance peut se tourner vers son petit-fils qui se bat comme un terrible guerrier. Ce qui veut dire que si le joueur concerné arrivait à cette fin aussi surprise qu’impossible, la terre va éclater sous la vibrante félicitée de la Comorienne qui ne saura comment vivre ici-bas.
Cette attitude de la femme emportée fait dire, que le peuple centrafricain a cet engagement inébranlable de tout mettre en œuvre pour partager cette expression inattendue. Des jeunes sont là, autant mieux les exploiter comme il faut pour une manifestation tout à fait surprise.
La jeunesse comorienne ne veut-elle pas la jeunesse centrafricaine qui travaille avec acharnement pour une suite au-dessus du favorable ?
