Par Thomas KOSSI
Bangui 7 février 2022- (Ndjoni Sango) : La coupe africaine des nations(CAN), mise en place par les pères du football, donne un top sérieux à la chose. L’Afrique en général, dont les considérations sont diverses, font chorus quant à venir se battre sportivement par la force des pieds. Ceux-ci fixent le public en jubilation qui se demande, comment sera la fin ?
Les puissances physiques qui rivalisent, se font voir en spectacle à ciel ouvert. Seul le dernier coup de sifflet dit qu’après plus d’une heure, le cœur se calme après qu’il soit chauffé par des inattendus. Tant l’on sait en définitive, que telle équipe qui a brillé, remporte finalement le lot. Et alors qu’elle surprise ! Car ce que des années durant la nation entière s’est jetée dans le fleuve vous tombe dans la main, comment ne pas aller au ciel pour l’accueillir ?
La CAN, dans son organisation, fait parler tous les habitants. Qu’ils soient Blancs, Noirs ou Jaunes. Et pour le trophée, la pire des vérités éclate, les supporters les moins oubliés sortent en ballade, le temps nécessaire leur convenant leur ouvre le large portail.
Ces cohabitants mettent tout dans le sac du sacré sport, parce que n’est pas champion celui qui le veut ! Les fins détails volent, survolent et parcourent la terre qui s’attend à voir ce qui sera formidable dans les jours qui suivent.
L’on sait exactement qui fait quoi. L’on sait qui se prépare pour faire avancer le football du ballon rond dans un autre rayon nouveau. C’est alors que l’Afrique qui a été à un moment donné esclave, corvéable, montre aux yeux de l’univers, qu’elle est la vedette de la magie du fair-play.
Un peuple devenu vétéran de ce sport trop acrobatique, met tout au point pour ne point gagner le lot tant souhaité. Cris de douleur pour les uns et les autres ! Retenons cette envie qui n’est que passagère. La vie fait dire solennellement, laisse-voir ton immense souhait, que de chanter trop haut ta vision ultime ?
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