RCA: le peuple Centrafricain a t-il tord de choisir ses propres partenaires ?

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Par Mamadou NGAINAM

Bangui 8 juillet 2023—(Ndjoni Sango) : La République centrafricaine qui est un pays souverain est libre de choisir elle-même ses partenaires. Ce choix fait par les autorités compétentes est devenu un péché pour certains partenaires financiers qui ont décidé de rendre la vie difficile aux Centrafricains.

Le développement d’un pays dépend de la manière dont ce pays oriente sa politique. Dans le domaine des affaires, il y a ce qu’on appelle le partenariat gagnant-gagnant. Dans les conventions signées, les deux parties doivent respecter les clauses du contrat permettant d’honorer leurs engagements vis à vis de l’un et de l’autre. C’est pourtant ce que les autorités centrafricaines ont fait pour le bien du peuple Centrafricain.

Après des années de collaboration, les autorités centrafricaines se sont rendues compte que certains partenaires financiers ou bailleurs de la RCA jouent un double jeu contre les Centrafricaines. Le financement des groupes armés et terrorismes à commettre des exactions contre la population civile et militaire.

C’est dans ce contexte que les dirigeants Centrafricains ont jugé mieux de se séparer de certains partenaires et tisser une nouvelle relation avec le partenariat gagnant-gagnant.

Depuis cette séparation, ces bailleurs financiers avec la complicité de certains leaders de l’opposition cherchent par tous les moyens de coincer la RCA. Le refus de financer certains projets du développement de la RCA, la suspension de l’aide budgétaire, la lutte pour le maintien de l’embargo sont entre-autres les plans Machiavéliques tissés et les actes négatifs posés par ces partenaires contre la RCA.

Dans une clause de contrat, il stipule que l’autre partie signataire peut toutefois renoncer ou résilier le contrat en cas de non respect des engagements de l’autre. C’est pourtant ce que les autorités centrafricaines ont fait pour qu’aujourd’hui, la RCA puisse décoller à nouveau avec ces nouveaux partenaires à l’exemple de BRICS.

L’on se demande si les dirigeants Centrafricains ont mal fait de choisir un partenaire fiable et rentable pour l’essor de leur pays et de leur peuple ?

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