Par Socrates Fibanga
Bangui 18 juillet 2023-(Ndjoni Sango) : C’est sans équivoques, l’homosexualité qui ne fait pas partie des valeurs que partage le peuple centrafricain est systématiquement interdite par l’article 40 du projet de la nouvelle constitution soumis à l’appréciation du peuple souverain qui devra se prononcer d’ici le 30 juillet prochain.
Alors que des lobbies occidentaux tentent d’imposer aux pays africains au nom d’une certaine liberté l’homosexualité qui est contraire aux aspirations des peuples, le projet de la nouvelle constitution soumis à l’appréciation des Centrafricains comme pour les protéger de cette contre-valeur prohibe sans tergiversations la pratique de l’homosexualité dont on ne voit pas l’importance pour un pays qui a l’ambition de faire la promotion de ses propres normes idéales sur la scène internationale.
Se fondant sur le riche héritage culturel et social légué par les ancêtres, les législateurs de la nouvelle constitution, voulant rappeler à chaque fille et fils du Centrafrique l’importance de préserver les us et les traditions qui entourent les mariages dans le pays ont bon de demander aux centrafricains d’adopter une nouvelle loi-mère qui ne fera pas la promotion de l’homosexualité.
En effet, selon l’article 40 et son alinéa 1er : « Tout individu a le droit de se marier avec la personne de son choix, de sexe opposé, et de fonder une famille placée sous la protection des pouvoirs publics », ce qui revient à rejeter sans équivoque toute autre forme d’union que celle entre un homme et une femme.
