La France est-elle un serpent venimeux pour la République Centrafricaine ?

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Le président centrafricaine, Faustin Archange Touadera, avec son homologue français Emmanuel Macron
Le président centrafricain, Faustin Archange Touadera, avec son homologue français Emmanuel Macron à Paris

Par Julien François Arobazayas

Bangui 7 aout 2023 -(Ndjoni Sango): Depuis l’indépendance jusqu’à nos jours, des coups d’Etat à répétition, des mutineries et des crises militaro-politiques, se sont produits soit sous les ordres et ou soit avec la bénédiction de la France qui démontre sa mauvaise coopération à travers les actes posés dans le pays. Ainsi, les Centrafricains s’interrogent si la France n’est-elle pas un serpent venimeux pour leur pays ?

La France toujours dans la dynamique de monopolisme, prétend maintenir la République Centrafricaine dans l’extrême pauvreté, en plongeant ce pays de l’Afrique centrale dans une stabilité chronique depuis son indépendance en Août 1960, en vue de mettre la main sur les richesses de celle-ci considérées depuis la nuit de temps comme sa chasse-gardée pour sa future génération.

En agissant ainsi depuis fort longtemps, la France pense trouver les Centrafricains naïfs et veut continuer dans la même vision. Malheureusement pour elle aujourd’hui, elle fait face à un leadership Centrafricain clairvoyant en la personne de Faustin Archange Touadera qui a su faire les choses dans la logique d’une coopération gagnant-gagnant avec tous les Etats à travers le monde.

A cette occasion, le président Faustin Archange Touadera doit avoir la tête haute embarque tout le monde dans le mem bateau et le conduire selon sa vision politique éclairée actuelle, afin d’atteindre ses objectifs et surtout de ne pas tomber dans le piège de la France comme ses prédécesseurs.

Cette politique interpelle toute la population à se mettre débout et ne pas hésiter un seul instant pour soutenir la politique du bien-être en vue de la réduction de la pauvreté en RCA.

Par ailleurs, le président Faustin Archange Touadera est appelé à ne pas se plier devant les caprices de la France qui veulent mettre à mal l’avenir de la RCA, mais plutôt saisir son mérite d’être un leader éclairé afin de conduire le peuple Centrafricain vers le développement social.

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