Par Fofito Mathas
Bangui 2 février 2022—(Ndjoni Sango) : Après deux mois de fermeture temporaire des vols en sa destination à cause de la montée en puissance du nouveau variant de la Covid-19- Omicron (B.1.1.529), qui a fait des victimes en Europe, et en Afrique le Royaume Shérifien a enfin annoncé la réouverture de ses frontières. Annonce faite ce par le ministère des affaires étrangères marocains.
La pandémie à coronavirus, qui continue de vibrer le monde entier et plus particulièrement le Maroc, est l’un des motifs qui a poussé le gouvernement marocain dirigé par sa Majesté le Roi Mohammed 6, à suspendre temporairement tous les vols nationaux et internationaux de poser sur le tarmac de leur pays pour une durée de 2 semaines, à compter de la date du lundi 29 novembre2021 à 23h59.
Cette décision prise par les autorités marocaines, permet de protéger non seulement leur population, mais également de barrer la route à la propagation de cette peste mortelle qui tue sans distinction.
Cette mesure sanitaire imposée par les dirigeants shérifiens, a des impacts négatifs sur plusieurs plans. Que ça soit en économie, transports, tourismes, culturels et autres branches d’activités qui font gagner de l’argent à cette dynastie.
« C’est un ouf de soulagement pour nous qui sommes dans l’attente de la délivrance de nos visas par l’Ambassade du Maroc à Bangui. Suite à cette nouvelle, nous avions retrouvé l’espoir d’aller étudié au Maroc dans nos diverses facultés après 60 jours de fermeture temporaires des vols directs à cause de cette crise sanitaire », a exclamé un étudiant en attente de visa marocain.
Rappelons qu’avant la fermeture de ces vols nationaux et internationaux, plusieurs dossiers de visas sont mis en arrêts. Il y a d’un autre côté les étudiants qui se sont inscrits dans des établissements privés qui sont pénalisés par cette décision et de l’autre côté des particuliers à savoir les militaires qui devraient se rendre à l’Académie Royale Militaire de Meknès au Maroc pour la formation des officiers et des évacuations sanitaires. Affaire à suivre !